Le manoir se dressait, soumettant, en plein milieu des vestiges d’un parc à l’abandon. Entre les arbres tordus par le vent et les chemins envahies par les ronces, une constitution de verre et de métal résistait encore au générations : une serre oubliée, impénétrable postérieur un mur de végétation sauvage. https://dallasuedzu.like-blogs.com/33571051/le-jardin-des-obscurités-statiques