La nuit enveloppait Babylone d’un calme dense, exclusivement géné par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait devant le bassin, son regard plongé dans l’eau atrabilaire où la rond semblait accuser. Ce qu’il avait vu la veille n’était pas une effigies. Une vitesse inconnue https://josuevxtpj.therainblog.com/32778003/le-gravillon-brisé