Callista resta de longues heures à arrimer l’horizon, à l’affût du moindre frémissement des grandes vagues ou d’un écho lointain qui lui apporterait un contact. Pourtant, la mer demeurait implacable, silencieuse de façon identique à un ciel sans étoiles. Le chant des sirènes avait refroidi, et avec lui, la seule https://charliedsfrf.idblogmaker.com/32996491/l-écho-des-creux-de-la-vague