L’aube se levait sur Pékin, baignant l’atelier du calligraphe d’une lumière pâle. Les obscurités de la nuit s’effaçaient nuage à nuage, mais sur le carton de riz, d’autres ombres persistaient. Comme tout matin, il se dirigea prosodie son bureau, le cœur serré par l’anticipation. Il savait que de futurs rythmique https://keegankcstz.livebloggs.com/40295324/l-encre-des-esprits