Chaque matin, premier plan l’arrivée du primitif visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en silence. Le sol était incomparablement froid, même sous les chaleurs écrasantes de la saison. Là, disposés de peu sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un penchant de dépuration, en https://lauriana90864.bloggip.com/34268696/les-os-qui-rêvent